La procrastination l'a amené à l'échec

  • Coaching
  • 20 Avril 2019
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Clément passe son BAC  pour la deuxième fois et commence à s’organiser pour ses révisions le problème est qu’il a tendance à passer régulièrement deux à trois heures à se balader de vidéo en vidéo sur YouTube, au lieu de réviser. Djamila elle, redouble terminale ES et se trouve prise dans le cercle infernal du “binge-watching” ». Cette pratique qui ressemble fort à de la boulimie d’image et qui consiste à  véritablement engloutir de nombreux épisodes de séries les uns derrière les autres.

Ces automatismes génère ces ses deux lycéens et chez bien d’autres de la procrastination, cette tendance à tout remettre au lendemain qui, selon une étude,  touche environ 50 % des étudiants, contre 30% en moyenne de la population adulte . La procrastination est en effet le problème majeur que rencontrent les jeunes au cours de leur cursus scolaire puis universitaire.

L’accélération et l’omniprésence des nouvelles technologies semblent avoir accéléré le temps  en imposant le diktat du zapping et de l’immédiateté de l’information qui génèrent pour les jeunes de fortes sollicitations. Au fil du temps, la baisse de l’attention et de la concentration s’est installé avec aujourd’hui des temps de travail efficace considérablement réduits. Nombre d’adolescents perdent pieds et s’engloutissent dans des activités faciles qui leur apportent un plaisir immédiat sans effort  et  qui sont de surcroit chronophage.

A l'origine de la procrastination, il y a généralement une anxiété, un stress majeur face à une tâche que l'on estime insurmontable. La peur de ne pas être à la hauteur et la mésestime de soi s’installent alors. La stratégie inconsciente de se tourner vers des tâches plus simples, plus « cool » et plus satisfaisantes.

Lorsque l’adolescent s’adonne à ces distractions, son cerveau produit des endorphines naturelles qui agissent, à la longue, comme une drogue du plaisir dont le jeune finit par dépendre et qu’il va rechercher en permanence plutôt que de réviser. Il semble donc important de mettre de la « gamification », d’instaurer un rituel proche du jeu lors des révisions pour que les étudiants trouvent plaisant de réviser.  Il est également important de mettre en place un environnement libre de toute distraction pour pouvoir se concentrer.

Des moyens simples existent et il serait dommage de mettre en péril la réussite aux examens par ce fléau qu’est la procrastination.

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